Kitsch’n’British #3 – A table !

Pour ce troisième épisode de Kitsch’n’British, j’ai décidé de partager avec vous les petites recettes que j’ai proposé à mes invitées, avec, en cadeau, les petites étiquettes que je leur avais concoctées pour notre pique-nique du midi, un petit bandeau autour du sandwich et une petite étiquette sur le pot de crumble:

Je ne vais évidemment pas vous révéler la recette très secrète de mes sandwiches jambon-fromage, par contre, je vous propose celle de mes mini-crumbles pommes-pêches. Parce que, oui, un crumble en pique-nique, c’est possible.
Pour cela, il suffit de se procurer des petits pots hermétiques comme celui-là:

Pour le reste, voici ce qu’il vous faudra pour 4 mini-crumbles:
pour la pâte à crumble:
100g de sucre en poudre
100g de farine
100g de beurre doux légèrement ramolli
100g de poudre d’amandes

pour la garniture:
3 ou 4 pêches jaunes
2 pommes
30 à 60g de vergeoise ou de cassonade
Du beurre pour la cuisson

Commencez par préparer la pâte à crumble.
Pour ce faire, rien de plus simple: on met tous les ingrédients dans un bol à mélange et on fait comme à la mer quand on est petit, on écrase tout avec ses doigts pour faire un sable humide.
Après quoi on effrite la pâte sur une plaque de cuisson en veillant à laisser quelques morceaux un peu plus épais.
On met ensuite la plaque avec la pâte au réfrigérateur le temps de faire préchauffer le four à 200°C.
Et évidemment, une fois que le four est chaud, on enfourne la pâte jusqu’à ce qu’elle prenne une jolie couleur dorée.

Pendant que la pâte est au four, c’est le moment d’éplucher et de couper les fruits en morceaux.
On fait fondre le beurre à la poêle pendant ce temps et on y ajoute les morceaux de fruits et 1 ou 2 bonnes cuillères à soupe de vergeoise qu’on mélange bien aux fruits pour les faire caraméliser.
Une fois que les fruits sont bien colorés et qu’ils commencent à nager dans leur jus, on peut les sortir de la poêle et commencer le montage du crumble.

Dans chaque petit pot, on alterne les couches de pâte à crumble et les couches de fruits en commençant et en terminant par la pâte à crumble.
On laisse ensuite refroidir un peu avant de fermer les pots et de venir y coller les étiquettes avec une goutte de lait (si, si, je vous assure, pour coller une étiquette sur du verre, on utilise du lait, c’est magique).

Et voilà!

Et pour télécharger les étiquettes, c’est par là…

Kitsch’n’British #1 – Les invitations

Kitsch’n’British… Quelle idée me direz-vous! Alors plantons le décor.

À M-10 de mon mariage, il était venu l’heure de commencer quelques essayages et de se faire une idée de ce à quoi pourrait ressembler la fameuse robe… J’ai donc mobilisé mes amies proches et ma mère qui habitent loin pour se joindre à moi et leur ai organisé pour fêter leur venue une journée bien minutée (dire de s’entraîner au D-Day…).
Ce blog n’étant pas né pas hasard, formaliser tous les dîners, journées et sorties que j’organise avec, au minimum une invitation, au mieux un thème complet, est l’une de mes obsessions et je n’ai donc pas fait entorse à la règle.

J’avais repéré dans les rayons de mon supermarché préféré ces serviettes de tables qui, allez savoir pourquoi, ce sont finalement retrouvées dans un de mes placards en attente de recrutement.

J’avais également enregistré dans un coin de mon disque dur ces freebies trouvés sur FPTFY et dont je m’étais toujours dit que j’en ferais quelque chose.

L’occasion était trop belle, et j’ai donc passé tout ça au blender, en ajoutant un soupçon de vintage, de l’émincé de Royal Baby pour être dans l’actu et une fine tranche de pin-up (j’avais envie…) pour voir ce que ça pouvait faire…. Et ça a fait….. suspens….. Kitsch’n’British !

J’étais donc lancée: notre journée aurait du Kitsch, du British et du fifties, sinon rien!
Maintenant que vous connaissez toute l’histoire, je peux vous laisser découvrir la première création de ce thème en image: les invitations! (Et comme je suis gentille, je vous les ai même mises à télécharger rien que pour vous en bas de l’article)

Et pour télécharger le fichier pdf, c’est par ici